Le loup n'est plus apparu dans l'Ain depuis des années mais pourrait bien être de retour. La préfecture a donc réunit pour la première fois ce mercredi la cellule de veille départementale, composée de chasseurs, d'agriculteurs mais aussi d'associations de protection de la nature,
D'autre part, le préfet de l'Ain a pris un arrêté autorisant les lieutenants de louveterie à mettre en oeuvre des opérations d'effarouchement si nécessaire par mesure de précaution.
Le loup reste une espèce protégée. Tuer un spécimen constitue un délit puni de 2 ans de prison et de 150 000 euros d'amende. L'État suivra attentivement l'évolution de la situation dans le département.