Il n'y a pas eu de blessés à-priori. Et alors que des affrontements violents avaient été signalés la semaine dernière à Lyon entre des membres d'ultra-gauche et d'ultra-droite, l'ambiance était plus calme ce samedi 16 février.
1000 personnes sont venues manifester
Vers 17H30, le trafic de l'A7 avait repris, a constaté une journaliste de l'AFP. Les forces de l'ordre ont tiré plusieurs salves de grenades lacrymogènes pour dégager les voies. Les pompiers sont intervenus au niveau du musée des Confluences pour éteindre un feu allumé sur l'une des contre-allées de l'autoroute.
Plus d'un millier de manifestants s'étaient rassemblés dès le début de l'après-midi dans le centre de Lyon, une mobilisation globalement similaire à celles des weekends précédents.
"On ira jusqu'au bout. Il faut une ou plusieurs réformes (...) pour qu'on puisse vivre correctement de notre travail", explique Nolan Battista parmi les manifestants.
Dès le début de la manifestation, les forces de l'ordre ont eu recours aux gaz lacrymogènes pour empêcher les gilets jaunes de pénétrer dans les artères commerçantes de la ville.
(Avec AFP)